Rétrospection 13 – Une Infirmière En Beauce

Rétrospection 13 – Une infirmière en Beauce

Ce récit est en partie inspiré de la vie conjugale de GALONA devenu GALONA BIS (auteur chez HDS), racontée à VIEULOU au fil de leur correspondance.

Bien entendu ce texte a été corrigé et validé par GALONA et les noms, professions et lieux ont été changés.

Après l’invitation chez Henri et Justine et la séance de voyeurisme mutuel, l’exhibition dans le monospace devant un autobus bondé et la masturbation avec un gros gode en bordure d’un bois, Hervé et Valérie se retrouvent dans leur chambre.

Valérie n’arrive pas à dormir, elle réfléchit à tout ce qui lui arrive depuis quelques semaines et elle repense aux carnets intimes qu’elle a écrits et cachés dans sa boite à musique depuis son adolescence.

Elle a l’impression de revivre ce quelle a connu durant une dizaine d’années avec le beau Serge, qui après l’avoir dépucelée à seize ans, l’a entrainée dans un tourbillon d’actes glauques, la prenant en photo dans des poses académiques complètement nue, puis dans des attitudes de plus en plus lascives pour en arriver à des postures carrément obscènes.

Puis, il a fallu qu’elle aille dans des camps naturistes, où Serge l’obligeait à exposer ses parties les plus intimes aux nombreux voyeurs qui détaillaient sans vergogne l’orifice de sa chatte que Serge prenait plaisir à ouvrir de ses doigts devant leurs yeux concupiscents.

Pendant cette période, elle l’a quitté plusieurs fois, mais elle revenait, attirée par elle ne sait quoi, sans parler qu’il la baisait comme un Dieu !

Elle a même dû faire des fellations à des inconnus, dans des cinémas notamment, où des hommes tripotaient ses seins et sa chatte. Lorsqu’il lui a demandé de coucher avec d’autres hommes devant lui, pendant qu’il prendrait des photos, elle s’est enfuie chez sa sœur, ne voulant plus le revoir.

Elle a connu Hervé avec lequel elle a eu trois s et plus de vingt ans de vie commune sans histoires, car elle ne voulait plus connaître ce qu’elle a vécu avec Serge.

Puis sa libido s’est éteinte, bien que, il y a cinq ans, elle ait manqué avoir une aventure. Après cet acte manqué, sa relation sexuelle avec son mari s’est peu à peu émoussée dans un train-train sans fioriture.

Puis, il y a deux mois, il est devenu soudain plus attentionné, avec des gestes de tendresse oubliés depuis longtemps. Il a pris soin d’elle, l’a écoutée, ne l’a plus agressé sexuellement comme il le faisait souvent. Elle lui en été reconnaissante. L’envie mutuelle de se retrouver en faisant l’amour dans leur lit, comme au temps de leurs premières années de mariage est revenue.

Mais Hervé en voulait plus, envie de la voir sexy en portant des vêtements et des sous-vêtements qu’elle ne jugeait plus de son âge, bientôt cinquante ans. Petit à petit il y est arrivé et son désir de la voir admirée par d’autres hommes s’est fait sentir de plus en plus. Jusqu’à ce piège dans lequel elle est tombée, car elle ne peut douter que ce soit un piège que lui a tendu son homme, avec l’aide de leur vieil ami, le colonel en retraite Paul et du beau Cédric le patron d’Hervé. Ah ! Ils se sont bien entendus ces trois là.

Quand elle pense que le baron et Hervé ont réussi à pénétrer sa chatte en même temps avec leur verge. Oh ! Bien sûr, elle avait trop bu de champagne cette soirée là et elle n’était plus elle-même. Elle ne peut portant pas se cacher qu’elle n’a jamais eu autant de plaisir auparavant ;y compris le lendemain lorsque Cédric et Paul l’ont traitée comme la dernière des putains ; elle a eu honte de se prêter à leurs caprices et à leurs extravagances. Mais quelle jouissance. Les orgasmes se sont succédés jusqu’à ce qu’elle s’évanouisse de bonheur.

Son mari lui a affirmé qu’il l’aimait toujours après avoir forniqué devant lui ou sans lui et il le lui a démontré depuis chaque jour.

À présent il souhaite qu’elle couche avec Henri, le mari de son amie Justine. Elle sait que c’est un jeune couple libre, et les allusions, lors de ses visites à la librairie, lui ont fait comprendre que Justine et Henri, sont coutumiers de pratiques, dira-t-on libertines.
Henri est un mec superbe, un mètre quatre-vingts de muscles et sa verge doit être en proportion songe-t-elle.

À cette évocation, une bouffée de chaleur lui monte au visage, ses tétins deviennent douloureux car ils se tendent comme une petite bite, elle sent que sa fente s’humidifie et, tandis qu’une main tord et malaxe les tétons et les mamelons, l’autre est descendu ouvrir les lèvres intimes, les doigts se frayant un passage entre les chairs imprégnées de cyprine, elle se masturbe avec une énergie incroyable jusqu’à ce que l’orgasme la submerge.

Hervé dort profondément et Valérie en est soulagée. Bien qu’il adore la voir se faire du bien comme il dit, il est comme un fou s’il peut aussi contempler sa vulve entièrement épilée, surtout lorsqu’il lui fait un cunnilingus et qu’il peut à loisir détailler toutes ses parties intimes. Bien que depuis années, il l’ait suppliée de pouvoir la voir ainsi, il y a très peu de temps qu’elle lui a accordé cette faveur. Elle avait trop honte avant et c’est vrai qu’elle se sentait coincée.

Les dernières semaines ont vu s’éclaircir ses doutes sur sa féminité et il est vrai que le regard des hommes sur elle a changé. Elle était éteinte et s’habillait mal. À présent, elle n’est plus choquée lorsqu’un homme comme Henri reluque sous ses jupes. L’autre soir, elle s’est surprise à ouvrir les cuisses pour qu’il profite de ce qu’elle pouvait offrir de plus lubrique. Elle regrette presque d’avoir mis une culotte, il aurait pu découvrir sa grotte humide et dénudée et ses grandes lèvres entrouvertes. À cette idée, elle a de nouveau une bouffée de chaleur.

Observant le souffle régulier de son mari, elle se lève précautionneusement et va dans le dressing fouiller dans la cachette prévue pour les gadgets du sex-shop. Elle en retire le dieu des clitos, le dernier gadget qui vient de sortir, le « Womanizer W500 », celui qui ouvre les petites et les grandes lèvres juste par la pensée et celui qui fait jaillir des sources là où rien ne coule.


Cette technologie stimule le bouton d’amour de toutes les femmes grâce à une aspiration délicate et vibratoire du clitoris. C’est une sensation bizarre et extraordinaire, une espèce de cunnilingus à l’air.


Valérie écarte la vulve et fait jaillir de son capuchon un clitoris qui bande déjà. Prenant en main cet engin si ergonomique, elle applique l’embouchure conique pour qu’elle se place parfaitement sur le clitoris et démarre le moteur qui ne fait presque aucun bruit. La respiration s’accélère, le rose monte un peu aux joues et elle pousse de petits gémissements. Elle décide de passer une vitesse de plus, elle ferme les yeux ; une cyprine abondante s’écoule de sa fente tandis qu’elle se laisse aller et que ses sens se déchainent, l’orgasme arrive sans prévenir, elle se cambre, ondule, gémit et laisse pousser un hurlement sous la jouissance extrême qui déferle.


Il y a un moment qu’Hervé est réveillé et qu’il contemple son épouse qui utilise pour la première fois ce gadget extraordinaire qui vient de la mettre en transes. Il est très excité de la voir jouir sans aucune retenue.


Valérie prend doucement conscience que son mari l’observe. Elle se blottit contre lui en lui soufflant :


• Pardon, oh pardon mon chéri, mais je ne pouvais pas dormir et mon esprit vagabondait après tout ce que tu me fais découvrir, j’ai voulu essayer ce vibro !


• Tu as bien fait mon amour. Dis-moi ! Quel effet cela te fait ?


• Tu as bien vu et entendu – c’est époustouflant, la progression de l’excitation était tellement torride que j’ai joui avec une violence prodigieuse. J’en ai pris plein les mirettes. J’ai eu beaucoup de mal à redescendre sur terre. C’est vraiment phénoménal !


• Tu accorderas bien à ton gentil mari, une pipe royale dont tu as le secret ?...

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